13/09/2009

Les vignes sous le soleil des Costières

On en parle....

La notoriété du domaine dépasse les frontières, ainsi on peut retrouver les vins mis à l'honneur sur sur radio canada

Dans son émission Indicatif présent Marie-France Bazzo parle en ces termes du millésime 2002 :
"Domaine du Grand Saint-André 2002
France, Costières de Nîmes
11,10 $
Médaillé d'argent à Paris en 2003. Un vin fort agréable avec des fruits frais au nez, framboise, fraise et une touche de pomme et de verdure. En bouche, il est frais, coulant, friand et avec une bonne persistance. D'un bel équilibre et juste assez consistant, il convient à toutes les grillades estivales.
"

Mais également le millésime 2003; le millésime 2004 ainsi qu'un ensemble de chroniques.


Le domaine du grand saint-andré est apprécié au Canada mais également en Australie. La célèbre critique Sally Gudgeon, journaliste au sydney morning herald a ainsi consacré l'article suivant au millésime 2003

12/09/2009

Global Wine Stocks

Le Domaine du Grand Saint-André Costières de Nîmes Rosé 2005 disponible à la Bourse Mondiale du Vin

Palmarès 2009


Médaille d'argent pour le Domaine du Grand Saint André Rosé Millésime 2008 en A.O.C. Costières de Nîmes.

Le concours des Vinalies internationales


d'après le site des vinalies

www.vinalies-internationales.com

"Initiée et organisée par l’Union des Œnologues de France, cette édition rassemblera, pour 2009, près de 3.500 échantillons en provenance de toutes les régions de production du monde.
La mission confiée à chaque jury, composé de 5 ou 7 professionnels (le règlement dicté par l’Organisation Internationale de la Vigne et du Vin, l’Union Internationale des Œnologues, et la Fédération Mondiale des Grands Concours Internationaux de Vins et Spiritueux, impose qu’il soit composé de 2 français et de 5 internationaux, le Président de table devant être impérativement un oenologue français) est d’accorder à chaque échantillon une notation accompagnée d’un commentaire de dégustation. Après des dégustations individuelles à l’aveugle, le Président de table relève les commentaires faits en temps réel (suivant un système informatisé) et, si besoin est, un débat s’instaure pour aboutir à un consensus général. Il arrive que certains palais aux affinités gustatives diverses divergent radicalement dans leurs appréciations. Un véritable tour du monde épicurien pour le vigneron participant ! Aujourd’hui, l’Union des Œnologues de France est certaine d’un fait : face à un linéaire de supermarché, à une offre de vins de plus en plus diversifiés, voire complexes, les consommateurs recherchent des repères et des garanties reconnus.
Notre volonté est d’apporter, par les prix décernés aux Vinalies Internationales, une valeur ajoutée aux cuvées récompensées.
Nous sommes de ceux qui préparons les vignes, qui élaborons les vins et les élevons. Ne sommes-nous pas à la place la plus légitime pour les juger et les apprécier pour le consommateur ? Aujourd’hui, nous devenons les garants de la traçabilité de vos vins !

” Promouvoir la quintessence de vos terroirs, tel est notre objectif en assurant à chaque vigneron participant une forte visibilité : chaque lauréat pourra disposer, sous le contrôle de la Répression des Fraudes, de macarons à l’effigie du Concours, véritable argument commercial pour un “produit certifié et garanti par un collège de professionnels”.

Consciente depuis toujours que ces médailles n’ont de véritable sens que si elles sont suivies par une promotion auprès des acheteurs professionnels et du grand public, l’Union des Œnologues de France organise une campagne de relations avec les médias et, assure la valorisation du palmarès à l’international auprès des importateurs, distributeurs, grossistes et cavistes. De plus, l’Union des Œnologues de France a confié à la maison d’éditions Hachette Pratique, la publication et la diffusion en librairie, du guide 1000 Vins du Monde, reprenant les commentaires de dégustation attribués à 1 000 vins dégustés, afin de plébisciter auprès du consommateur, la sélection d’un concours professionnel."

Histoire du Domaine


Origine du nom

Le domaine de Saint-André appartenait à l'abbaye de Saint-Gilles. Toute cette région étant une colonie romaine, le nom de Camarignan peut avoir deux origines:
- Campus Marigni, c'est à dire "le champ de Marignan ou "propriété du romain appelé Marignus", qui vint s'installer dans la région il y a près de 2000 ans.
- La contraction de Caius Marius Ager, c'est à dire le Champs de Caius Marius.
L'abbaye de Saint-Gilles, propriétaire de tout ce territoire, en avait cédé l'exploitation à différentes personnes avec l'obligation de construire un prieuré dans lequel les moines pourraient venir se recueillir. Ce bâtiment constitue aujourd'hui la maison d'habitation.

Origine de la propriété

15 avril 1767: Jacques Francois Pieyre achète a Louis François de Clavière la terre seigneurie justice haute, moyenne et basse de Saint-André de Camarignan pou 40000 livres dont 600 livres pour la justice haute.
Jacques a une fille, Jeanne Marthe, non-mariée, qui héritera à la mort de son père en 1778 du domaine de Saint-André.
23 fructidor An II (septembre 1804): Jeanne Pieyre, par un testament mystique chez Maitre Gaillard Novy notaire à Nîmes, lègue à Zaïre Barre la totalité de ses biens. Zaïre Barre, nièce de Jeanne, est la petite-fille de Jean Pieyre (frère de Jacques François) acquéreur du domaine Pont des Iscles à Bouillargues. Zaire Barre devient propriétaire de Saint-André et prend le nom de Barre de Saint-André.
1814:Zaire Barre épouse Auguste Charles Donnedieu de Vabres.
22 juin 1842: par devant Maitre Bordarier, notaire à Nîmes, Zaire partage ses biens entre ses quatre enfants. D'eux d'entre eux reçoivent le domaine de Saint-André de Camarignan : Marie Délie Donnedieu de Vabres, épouse Jean Marie Alphonse Delpuech d'Espinassous et Charles Pierre Jean André Donnedieu de Vabres. Charles meurt en 1856 sans enfant. Sa part de Saint-André revient à sa mère Zaire qui la donne à Marie Delie Delpuech d'Espinassous. Marie Délie devient l'unique propriétaire de Saint-André de Camarignan. De son mariage avec Jean Delpuech d'Espinassous, elle a une fille: Augustine. Celle-ci épouse le 29 decembre 1856 Alfred Meynier de Salinelles.
1er avril 1902: Augustine, par devant Maitre Renouard notaire à Nîmes, donne à
- Henri Jules Léon Meynier de Salinelles le Grand Saint-André
- Albert Gabriel Alphonse Meynier de Salinelles le Petit Saint-André
8 janvier 1942: Léon meurt sans enfant, faisant de son frère Alphonse son légataire universel.
17 mai 1954: Alphonse Meynier de Salinelles partage ses biens entre ses enfants:
- Marie, épouse Aurillion, et Juliette, épouse Vièles, reçoivent le Grand Saint-André.
- Édouard et Henri Meynier de Salinelles reçoivent le Petit Saint-André.
16 mai 1958: Édouard et Henri rachètent le Grand Saint-André à leurs sœurs Marie et Juliette.
30 octobre 1968: Édouard et Henri se séparent de leur indivision. Édouard prend le Grand Saint-André et Henri le Petit Saint-André.
1er septembre 1987: Édouard Meynier de Salinelles donne le Grand Saint-André à ses enfants:
Thierry Meynier de Salinelles et Laurence Meynier de Salinelles , épouse Bardin.



Nota bene: Augustine Meynier de Salinelles était propriétaire de l'entier domaine de Saint-André qui a été divisé en trois parties:
- Saint-André la Côte, donné à Francois Meynier de Salinelles, à l'heure actuelle propriété de Louis Penchinat, petit-fils de Francois.
- Le Petit Saint-André
- Le Grand Saint-André

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